Comme dit la littérature: La volupté volume 1

                        -I-

Elle posait ses yeux dans les blancheurs conquises
Telle l'ingénue qui découvre le chocolat d'une marquise
Elle aimait visionner le vice du téléphone sonnant
Qu'elle ne décrochera pas dans son plaisir étourdissant

                          -II-

Babydoll s'était parfumé d'une odeur
Qui exitait ses sens et sa grande vertu
Dans sa chambre, toute seule elle s'était mise à nue
Pour palper le vice et la matrice de l'ardeur

La petite chienne s'était cambrée. Sacrifice?
Ou bien plaisir du corps qui se détruit en signe de malice

Ses draps la carressaient comme des pervers finis
Qui n'existait pas! Babydoll se les ai fourni!
Se les ai aimé aussi.....

Elle jouait de ses doigts comme une belle pianiste
Improvisait la chaire sur sa paire de choses tristes
De son corps de Déesse qui s'autoressusite
Jeunes corps nues et dansant la farandole

Elle revait souvent de voyage galactique
A plusieur dans l'espace, elle songe aux mégaliths
De chairs pénétrant son voyage à la place de ses doigts
Comme l'utopie de la gamine et de la croix de bois

Ecartant les genssives de sa pente savonneuse
Elle parvient maintenant à la fin de la page
Babydoll exite sensuellement son echafaudage
Pour choisir de se poser tranquile sur les nuages

jouet du destin session 2005