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Without you I'm nothing
30 juin 2006

Poésie???

Quitte par les plaines et laisse toutes les villes



www.without.canalblog.com

pour ceux à qui la poésie austère ne fait pas peur.

vertige

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Commentaires
M
Sans titre<br /> <br /> Hombre fraiche, l'aube surgissant tel une flèche, les éclats de lumieres me leche le visage, âge de raison, attelage de saisons je les parcour a la nage pour te liberé de ta prison, cette vie est un triste present, certe magnifique a la tombé de la nuit, les conseils des étoiles a ce moment je l'ai entend souvent, je t'observé sur ces nuages gris cendre a tourné les pages de tes idées pour fuir ma présence, mais enchainé je ne pence t'atteindre avant que mon âme ne s'élance, j'ai posé les yeux sur toi et rêvé liberté, j'ai extirpé le feu en moi et oublier mon passé, accumulation d'erreurs au fur et a mesur de cette existence tracé, succéssion d'un eternel recomencement, je pencé a tor que tu pourais me sortir de cet oxygene déprimé, lorsque mes empreintes caréssé tes hanches tu disparaissé en boulversant les loi de la réalité tel un ange, j'avais perdu le morale, mais tes paroles me liberé de la morsure du crotal, tu avais fait germé l'esperence que nous puission encor incendié nos coeur frilant, admiré ce monde en silence, mais ton ambition fit le choix de t'enlevé, besoin de liberté je te comprend, l'ocean nous éloigné mais le ciel nous rapproché...
M
Regretté<br /> <br /> Sentiment éxogene, surplut d'oxygene,c'etais l'époque evolutive d'une jeunesse sans probleme,injection de botox pour coeur meurtrit,se laisant submergé par un amitier fleurit, trop de malheur,trop de tristesse, la mélancolie pese le poids de ses lueur,les regard sont aigris, certain emplit de mépris, d'autre noyé de larmes acides, l'ame en ruine, de cette terre ici bas un etre cher a disparut, sont corp est la inerte, mais sa lueur est partis rejoindre alla et les anges du paradit, plus d'epaule sur qui se reposé, devant le fait tu ne cesse de te lamenté de sont depart mais te rejouis en l'imaginant dans le kawtar, jardin d'aurores beureales et de tranquilité du matin au soir se rememorant les bon moment, dur de tourné la page assallit de remort et de tourment, ce n'est que l'orsque la bougis et sa flamme on pris fin que tu tes rendu compte de ton veritable attachement, chaine invisible coupe les lien qui rattache les morts au vivants, dur de faire le deuil d'un personne aimé ou aprecié car trop de sentiment vecu ou partagé, les larmes sont devenu des flaques ou vogue une vive douleur crispé, chaotique est son univert, de son sourir, deprimé est le revert...
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